Fini le bon temps, la cote ouest, c’est l’étape culturelle. Que dis-je ! L’étape multi-culturelle (Mouahaha) ! Georgetown d’abord, avec son quartier chinois, son quartier indien, son quartier colonial… Ca va n’en jetez plus ! Et les mosquées ? parce que y’a plein de mosquées aussi. Stop ! Ca suffit, cet article ressemble à rien.
Procédons par étape et en image :
Chinatown ça ressemble à une maison bleue ou verte – c’est celles que l’on a visitées.
Les étapes culturelles sont tojours très éprouvantes pour l’organisme
Sinon, y’a aussi les temples chinois, bien surchargés, mais avec des statues sympas :
Le quartier indien, on a pas pris de photo, je sais pas pourquoi. A la place, voici la plus célèbre mosquée de la ville :
Enfin le quartier colonial ressemble à une quartier colonial :
Voilà pour Georgetown. Melacca, c’est Georgetown plus au sud et sans quartier indien. Mais de toute manière on avait pas pris de photo du quartier indien à Georgetown alors ça revient au même, c’est multi-culturel tout pareil.
Le quartier colonial est plus important. C’est qu’ici y’a d’abord eu les Portugais, puis les Hollandais et peut-être encore des autres après. Ca fait beaucoup et ca laisse des traces.
Les Hollandais aiment l’orange mais le principal vestige de leur présence est rouge :
Les Portuguais ont construit un porte, aujourd’hui en ruine, et une église qui ne tient plus debout.
Voilà, y’a aussi le Chinatown local avec son marché animé.
A pu les voyages, finito, retour en Sarkozie. De nouveau, nous aurons la chance – nous sommes enviés de part le monde, sachez-le – d’entendre quotidiennement notre bon Président et/ou ses ministres. Chômeur-parasite, je promet solennellement de suivre une rééducation afin de mieux percevoir les joies d’un emploi payé au lance-pierre. L’important, n’est-ce pas, c’est de contribuer à l’effort national pour sortir de la crise, comme nous le montre tous les jours les élites politiques et économiques. Comme aux heures les plus sombres de son enfance, Nicolas Sarkozy lui-même a sans doute renoncé à acheter son saumon chez le traiteur. En Asie, des rumeurs terribles circulent sur l’état de santé de ces dirigeants de banque sacrifiant leur propre confort (au demeurant, totalement justifié et mérité – il va sans dire) pour le bien de la communauté nationale. Il nous faudra nous en montrer digne et prendre exemple. C’est à ce prix que la croissance française atteindra à nouveau des sommets que l’imagination même peine à concevoir. La félicité est devant nous, saisissons la !
C’est peu dire, la famille et les copains, que nous sommes contents de vous revoir.